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Il nous fait l’honneur de venir poser ces machines par chez nous pour un set qui, à coup sûr, endiablera le dancefloor. Hip-hop festif, electro-funk déluré, dancehall hybride. Producteur de renom ( R-Wan, Oldelaf, Lartiste, Mc Solaar, Manu Galure…), Tom Fire met au service de son projet solo toute l’étendue de son savoir faire unique. De la danse, du groove à tout-va, et beaucoup de fêtes… Whoupi Producteur reconnu et musicien multi facettes, Tom Fire revient avec un nouvel album en 2018 chez Chapter Two Records et une création live ambitieuse en collaboration avec le festival Sakifo. Depuis l’album The Revenge en 2011, et après plusieurs singles et E.P. les années suivantes, Tom Fire a énormément joué en live, tout autour de la planète. « Le morceau « Little Cake », je l’ai proposé à Melissa Laveaux au festival Sakifo à La Réunion, après son concert. Chaque tournée renforce mon envie de faire danser les gens avec des sons différents, ce qui est toujours un challenge, mais c’est d’autant plus excitant. » S’il fallait absolument coller une étiquette sur ce nouveau disque, ce serait celle de la « bass music ». Dans un même morceau, il peut piocher dans l’héritage du reggae stepper anglais et dans les rythmes des carnavals de Trinidad (« Original »). Hip-hop festif, electro-funk déluré, dancehall hybride, il a baptisé son joyeux bordel Low Fidelity, une déclaration d’allégeance aux basses fréquences qui font danser les foules de Rio à Tokyo. Mais Low Fidelity n’est pas seulement le testament d’un fêtard infatigable, on y trouve de vraies chansons, couplets et refrains. « Je peux envoyer la sauce en sound-system, mais je veux que les gens puissent aussi écouter mon album chez eux, au calme. » Contrairement à ce que raconte la légende urbaine, Tom Fire n’est donc pas né dans un caisson de basse. Il vient d’une famille de musicien classique, un père chef d’orchestre, une mère organiste, une sœur violoncelliste contemporaine, et un frère violoniste qui joue d’ailleurs sur ce disque. Il a lui-même été au conservatoire jusqu’à l’âge de 25 ans. Mais depuis l’adolescence, il bidouille les machines, se passionne pour le son des labels anglais, Cup Of Tea ou Mo’Wax, et après un heureux détour par la case jazz, il est devenu le musicien-réalisateur-producteur-beatmaker que l’on connaît aujourd’hui. Low Fidelity est indiscutablement son disque le plus abouti. Il le défendra sur scène dans les mois à venir, en duo avec un batteur, ou seul en DJ set, toujours sur les meilleurs dancefloors
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